Preuve que l’homéopathie a une nature unique
Le point de départ
Les solutions homéopathiques sont fabriquées à partir de sources végétales, minérales ou animales (dites substances de départ).
La substance de départ est diluée puis subit une agitation puissante : la dynamisation. Cette étape de [dilution + dynamisation] est répétée jusqu’à obtenir la solution homéopathique souhaitée.
Des chercheurs ont mené des expériences en physique, chimie et biologie pour étudier la nature de ces solutions homéopathiques.

Expériences en physique et en chimie
Etape 1
Des physiciens et des chimistes ont utilisé différentes techniques[1],[2],[3],[4] pour analyser les solutions homéopathiques.

Etape 2
Ils ont observé que les solutions homéopathiques présentent des propriétés physico-chimiques différentes suivant leur substance de départ et leur hauteur de dilution (5 CH, 9 CH, 30 CH…)[1],[2],[3],[4]
Expériences en biologie
Etape 1
Des biologistes ont travaillé sur différents modèles d’étude (végétaux[5], cellulaires[6] et animaux[7]) pour évaluer l’activité biologique des solutions homéopathiques.

Etape 2
Ils ont observé que l’action biologique des solutions homéopathiques n’est pas la même en fonction de leur substance de départ et de leur hauteur de dilution (5 CH, 9 CH, 30 CH…)[5],[6],[7]
Conclusion
Toutes ces expériences démontrent la nature unique des solutions homéopathiques, même pour des hauteurs de dilution élevées*.

* On parle de hauteurs de dilution élevées lorsque qu’on ne peut pas s’attendre à ce qu’il reste de molécules de la substance de départ (au-delà du seuil correspondant au nombre d’Avogadro, soit au-dessus de 12CH).
[1] Rey L. Thermoluminescence of ultra-high dilutions of lithium chloride and sodium chloride. Physica A: Statistical Mechanics and its Applications, 2003, 323 (C): 67-74.
[2] Demangeat J.L. NMR water proton relaxation in unheated and heated ultrahigh aqueous dilutions of histamine: Evidence for an air-dependent supramolecular organization of water” Journal of Molecular Liquids, 2009, 144, 32-9
[3] Elia V et al. Experimental evidence of stable water nanostructures in extremely dilute solutions, at standard pressure and temperature. Homeopathy: the journal of the Faculty of Homeopathy, 2014, 103(1): 44-50
[4] Cartwright SJ. Solvatochromic dyes detect the presence of homeopathic potencies. Homeopathy. 2016 Feb;105(1):55-65.
[5] Jäger T, Scherr C, Simon M, et al. Effects of homeopathic arsenicum album, nosode, and gibberellic acid preparations on the growth rate of arsenic-impaired duckweed (Lemna gibba L.). ScientificWorldJournal. 2010 Nov 4;10:2112-29
[6] Venard C, Boujedaini N, Mensah-Nyagan AG, Patte-Mensah C. Comparative Analysis of Gelsemine and Gelsemium sempervirens Activity on Neurosteroid Allopregnanolone Formation in the Spinal Cord and Limbic System. Evid Based Complement Alternat Med. 2011;2011:407617
[7] Endler PC, Scherer-Pongratz W, Harrer B, Lingg G, Lothaller H. Amphibians and ultra high diluted thyroxine–further experiments and re-analysis of data. Homeopathy. 2015;104(4):250‐256.
Les données présentées ne peuvent en aucun cas être extrapolées à une quelconque propriété ou usage clinique chez l’Homme qui nécessiterait des études complémentaires.