La mise en place d’une politique de promotion de la santé incluant la prévention constitue l’un des axes majeurs de la stratégie nationale de santé publique 2018-2020. Elle va de pair avec des conditions de vie favorables à la santé. Dans cette bataille pour la santé de demain, l’homéopathie est un atout indispensable.

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Des risques associés à l’environnement
Une vie quotidienne préservée des excès (nourriture, alcool, tabac, …) contribue au maintien d’un bon état de santé. Or, aujourd’hui, nous sommes de plus en plus exposés au quotidien à une pollution environnementale, pollutions du sol et de l’eau, pollution dite médicamenteuse, exposition à des substances allergènes et contamination des aliments.
En matière de santé, la pollution entraînée par les médicaments conventionnels est trop souvent ignorée. En effet, après absorption par l’organisme, les médicaments conventionnels sont libérés dans la nature et polluent les nappes phréatiques et les réseaux de recyclage d’eau, comme s’en est récemment inquiété l’OCDE. Une réalité qui a un impact direct sur les conditions de vie des Français et qui pourrait être diminuée en réduisant la quantité de médicaments conventionnels ingérés. Comment ? Grâce aux médicaments homéopathiques, qui ne génèrent pas de rejet dans l’eau du fait de la dilution homéopathique.
Les médicaments homéopathiques permettent de réduire notre consommation de médicaments conventionnels.
De plus, les médicaments homéopathiques permettent de réduire notre consommation de médicaments conventionnels en étant prescrits, selon les situations, en première intention ou en complément.
Par ailleurs, utilisée en traitement de fond pour les maladies chroniques, l’homéopathie améliore l’état de santé général de l’individu sur une longue période : à terme, la prévention par l’homéopathie réduit l’usage de médicaments conventionnels et permet ainsi de réduire la pollution médicamenteuse.
Renforcer la protection vaccinale
La vaccination permet à chacun de se protéger des maladies infectieuses graves et de protéger son entourage, notamment les personnes les plus fragiles telles que les nourrissons, les femmes enceintes, les personnes malades ou immunodéprimées et les personnes âgées. Prise en amont et en complément, l’homéopathie peut aider à mieux supporter les éventuels symptômes post-vaccinaux. Dans tous les cas, il convient de suivre les recommandations vaccinales des autorités sanitaires.
Préserver l’efficacité des antibiotiques
L’homéopathie a, depuis longtemps, fait ses preuves.
L’OMS identifie l’émergence des résistances bactériennes comme l’une des menaces globales majeures des prochaines décennies.
Cette antibiorésistance est liée à une consommation d’antibiotiques non maîtrisée et à une contamination secondaire de l’environnement. Face à cette situation de plus en plus inquiétante, l’homéopathie a, depuis longtemps, fait ses preuves.
L’homéopathie ne vise pas à se substituer aux antibiotiques. L’homéopathie utilisée en traitement de fond dans des maladies chroniques pourra limiter le recours aux antibiotiques. Si cela est nécessaire, le médecin adaptera sa prescription. Demandez conseil à votre médecin ou votre pharmacien.
Repérer, dépister et prendre en charge les pathologies chroniques
C’est indéniable, le repérage le dépistage et la prise en charge des pathologies chroniques permettent d’éviter leur aggravation, lorsque qu’elles sont effectuées de façon suffisamment précoce. Or, la médecine conventionnelle actuelle peine parfois à accompagner et prévenir ces maladies chroniques.
Ce rôle, pourtant déterminant pour garantir un bon état de santé général, est tout indiqué pour la médecine intégrative dont l’homéopathie représente le fer de lance. Le principe étant de couvrir le patient dans son entièreté, de cibler tous les symptômes et les conséquences d’une maladie, et pas la maladie seule. Par exemple, pour un patient atteint d’un cancer, il lui sera proposé en complément de son traitement chimiothérapique, de l’homéopathie pour prendre en charge les effets secondaires des traitements de chimiothérapie (exemple : fourmillements dans les mains, fatigue musculaire…). Des centres de santé, en France comme en Suisse, l’ont compris et mettent en place cette nouvelle approche dite de « médecine intégrative », afin de permettre aux patients de reprendre en main leur santé, à leur rythme, et dans leur globalité.
Quelques adresses de centre de santé proposant une approche de médecine intégrative :
– Institut Rafaël à Paris
3 Boulevard Bineau, 92300 – Levallois-Perret – France
– Institut de la médecine intégrative à Nyon en Suisse
31 chemin de Precossy, 1260 Nyon Suisse