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Octobre rose et cancer du sein : l’homéopathie en renfort !

Chaque année en octobre, la campagne de lutte contre le cancer du sein sensibilise autour du dépistage précoce et recueille des fonds pour la recherche contre la maladie. Cette 29ème édition est l’occasion de rappeler aux femmes atteintes que le taux de survie est aujourd’hui de 87% [1] et que des solutions telles que l’homéopathie existent pour les aider à mieux affronter les traitements.

 

Crédit photo : Design vecteur créé par freepik – fr.freepik.com

Parce qu’un cancer vous met à plat, peut atteindre au-delà de votre corps, il est très important d’intégrer dès le diagnostic toutes les pratiques et les thérapeutiques qui participeront à l’amélioration de la qualité de vie pendant et après le traitement. Le mois d’octobre est traditionnellement consacré à la prévention du cancer du sein et à la sensibilisation des femmes au dépistage précoce.

 

Le cancer du sein, le plus fréquent chez la femme

Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme. S’il représente la première cause de décès chez la femme, avec 14% des décès avant le cancer du côlon-rectum et le cancer du poumon, la survie des personnes s’est nettement améliorée au cours des années : on note  une diminution du taux de mortalité et une survie de 87% à 5 ans.

Le taux d’incidence a quant à lui presque doublé entre 1990 et 2018, passant de 30 000 à 58 400 nouveaux cas de cancer du sein chez la femme, soit +1,1% par an en moyenne.

Ces chiffres peuvent s’expliquer notamment par l’évolution des pratiques de dépistages, de meilleurs diagnostiques et une nette amélioration des traitements.

Plusieurs facteurs de risques ont été identifiés, comme l’âge, la prédisposition génétique, un antécédent de pathologie mammaire ou d’irradiation thoracique médicale à forte dose.  Des facteurs modifiables comme la consommation d’alcool et le tabagisme peuvent également avoir une incidence sur l’apparition du cancer du sein, selon un étude de Santé Publique France[2]. Ainsi, selon cette étude, en 2015, en France métropolitaine, environ 15,1 % des cancers du sein chez les femmes de plus de 30 ans étaient attribuables à la consommation d’alcool et 4,4 % au tabagisme.

 

L’homéopathie vient en complément des traitements de fond pour aider les patientes atteintes de cancer à mieux supporter leur traitement en améliorant leur qualité de vie.

Octobre Rose, une mobilisation annuelle pour lutter contre le cancer du sein

Instaurée en 1985, Octobre Rose est une campagne annuelle destinée à sensibiliser, au dépistage du cancer du sein et à récolter des fonds pour la recherche. C’est également une période qui met un coup de projecteur sur l’information et la prévention, tout en offrant un soutien aux personnes touchées par la maladie.

Elle mobilise des associations et des professionnels de santé autour du dépistage de la maladie en organisant des ateliers, des conférences mais également des marches et des courses qui se déroulent dans plusieurs villes comme, par exemple à Strasbourg. Nommée la Strasbourgeoise, cette manifestation est organisée, depuis 2010, par l’Association des Courses de Strasbourg Europe et l’Office des Sports de Strasbourg en partenariat avec la société Lilly pendant laquelle les femmes se réunissent pour former « une vague rose » pendant plusieurs épreuves (marche nordique, canoë, course…). Notons aussi d’autres actions sportives à l’instar de la célèbre course Courir pour Elles, généralement au printemps.

 

Les professionnels de santé homéopathes aussi mobilisés pendant ce mois

Octobre Rose mobilise des associations et des professionnels de santé autour de l’information sur le dépistage de la maladie. Parmi ces acteurs, figurent également les syndicats, fédérations, associations et laboratoires en faveur de l’homéopathie qui apportent un éclairage nouveau sur le cancer du sein.

L’homéopathie vient en complément des traitements de fond pour aider les patientes atteintes de cancer à mieux supporter leur traitement en améliorant leur qualité de vie.

 

L’homéopathie, une alliée reconnue en oncologie

Très utilisée en oncologie, l’homéopathie a l’avantage d’être sans effets secondaires et sans interactions connus avec les autres traitements. Elle répond aux besoins d’accompagnement des malades tout au long du parcours de soins, que ce soit à l’annonce du diagnostic, durant les soins et jusqu’à l’après-cancer, sans induire d’accoutumance.

Selon le docteur Jean-Lionel Bagot, la particularité du cancer du sein est que les patientes « vont davantage souffrir de leurs traitements que de la maladie à proprement parlé. Ce paradoxe médical […] mérite d’autant plus un traitement de support efficace. Une prise en charge homéopathique de qualité, saura leur apporter le soutien nécessaire à la traversée de cette épreuve. Les patientes font de leur démarche un choix et une prise de décision positive contre leur maladie. »

Dès le diagnostic, l’homéopathie permet de diminuer les symptômes liés à l’angoisse : boule dans la gorge, troubles du sommeil… Pendant les traitements, elle permet une meilleure récupération de l’organisme en cas d’intervention chirurgicale. Enfin, dans l’après-cancer, l’homéopathie trouve sa place en cas de symptômes persistants tels que les troubles du sommeil et la fatigue. Bien évidemment, c’est dans le cadre d’un protocole médical qu’il faut intégrer l’homéopathie, qui n’est en aucun cas un traitement du cancer.

 

 

Retrouvez l’interview du Dr. Alain Toledano et celle du Dr. Jean-Lionel Bagot qui présentent l’Institut Rafaël, centre de médecine intégrative qui propose une nouvelle manière d’appréhender l’accompagnement du patient atteint de cancer en incluant des soins de support comme l’homéopathie.

 

 

FOCUS SUR… L’homéopathie en soutien de l’hormonothérapie

Pour diminuer le risque de récidive des cancers, certains médecins ont recours à l’hormonothérapie, prescrite chez les femmes atteintes de cancer du sein. On l’appelle alors « hormono-dépendant ». L’hormonothérapie consiste à agir sur certaines hormones qui stimulent les cellules cancéreuses.

Elle peut être utilisée seule (cancer de la thyroïde) ou en complément d’autres traitements anti-cancer. Dans le cancer du sein, par exemple, elle est toujours précédée d’une chirurgie. Mais là encore, il y a des effets secondaires, variables d’un patient à l’autre : douleurs articulaires, ostéoporose, bouffées de chaleur, baisse de la libido, sécheresse vaginale, troubles de l’érection, migraines, sautes d’humeur…

L’homéopathie peut être conseillée dans cette situation pour accompagner le traitement d’hormonothérapie, en prévention ou en traitement des symptômes induits par hormonothérapie. Pour toutes ces raisons, l’homéopathie se présente aujourd’hui comme le soin de support non conventionnel le plus fréquemment utilisé par les patients atteints de cancer en France[3].

 

[1] La survie nette standardisée sur l’âge à 5 ans : 87 % ; à 10 ans : 76 % selon l’Institut national du Cancer

[2] Source Santé publique France

[3] Rapport VICAN 5. « La vie cinq ans après un diagnostic de cancer ». Institut National du Cancer, juin 2018