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AGIR DÈS LA PÉRIMÉNOPAUSE POUR BIEN PASSER LE CAP DE LA MÉNOPAUSE

Le 18 octobre, c’est la journée mondiale de la ménopause. A travers l’organisation de cette journée, l’OMS appelle toutes les nations à donner à la santé après la ménopause une place primordiale dans la recherche et la santé publique.

Le 18 octobre, c’est la journée mondiale de la ménopause. A travers l’organisation de cette journée, l’OMS appelle toutes les nations à donner à la santé après la ménopause une place primordiale dans la recherche et la santé publique. La ménopause est la période de la vie d’une femme marquée par l’arrêt de l’ovulation et la disparition des règles. Bouffées de chaleur, fatigue, douleurs articulaires et ligamentaires, irritabilité, prise de poids ou encore troubles du sommeil font partie des multiples symptômes qui apparaissent. Elle intervient généralement entre 45 et 55 ans[1] et s’installe progressivement après une période charnière : la périménopause, qui peut durer plusieurs années et altérer considérablement la qualité de vie des femmes. Cette journée mondiale est l’occasion de faire le point sur ces cycles incontournables de la vie féminine et de rappeler que l’homéopathie peut être une alliée précieuse.

 

LA PÉRIMÉNOPAUSE, QU’EST-CE QUE C’EST ?

Si elle est naturelle, la ménopause prive l’organisme de la protection des œstrogènes, augmentant ainsi les risques de certaines affections, plus ou moins invalidantes. Vécue comme une punition par des générations de femmes, la ménopause est aujourd’hui mieux considérée. Avec l’allongement du temps de vie, les femmes passent en moyenne autant d’années en compagnie de leurs hormones sexuelles (de 15 à 50 ans), que sans (de 50 à 85 ans) ! Comme il n’y a pas un organe dépourvu de récepteur hormonal, la fluctuation, puis l’effondrement de ces hormones va occasionner différents troubles sur l’ensemble du système digestif, les os, le cœur, la peau, le cerveau… Les risques majeurs encourus sont les pathologies cardio-vasculaires, l’ostéoporose et ses fractures associées ou encore la prise de poids avec syndrome métabolique (diabète, hypercholestérolémie…). Mais avant tout, la ménopause s’accompagne de troubles fonctionnels non graves, impactant la qualité de vie des femmes parfois pendant des décennies !

Troubles de la digestion (constipation, flatulences, intolérances alimentaires), de la thyroïde, du sommeil, de l’humeur, de la mémoire, de la libido, fatigue, douleurs articulaires et ligamentaires, relâchement de la peau ou encore sécheresse des muqueuses (oculaire, vaginale…). Pour la plupart, ces manifestations ne se contentent pas de survenir une fois la ménopause actée, soit un an après l’arrêt définitif des règles, mais parfois plusieurs années avant. Cette période est appelée la périménopause et peut s’exprimer de façons différentes, propres à chaque femme.

 

LES RÉFLEXES À ADOPTER

Comme il n’est pas possible de prédire et de dater l’arrivée de la ménopause, il est important d’anticiper.

La prévention est essentielle pour ne pas passer de la physiologie à la pathologie. Se préparer en amont permet de vivre le mieux possible, et en bonne santé, les années à venir. Il faut donc en parler avec le gynécologue ou le médecin traitant, dès l’apparition des symptômes.

À partir de 45 ans, il est important de faire un point sur la contraception, notamment pour les fumeuses. Différentes mesures peuvent aider à prévenir la survenue de pathologies cardio-vasculaires, l’ostéoporose ainsi que les symptômes associés à la périménopause et à la ménopause :

  • Mesures d’hygiène de vie :
    • Arrêt du tabac,
    • Alimentation équilibrée privilégiant les fibres, les légumineuses, les aliments riches en calcium (épinards, endives, fromages, oléagineux …) et les poissons gras,
    • Bonne hydratation, notamment avec des eaux minérales ayant un bon taux de calcium,
    • Limitation de la consommation de sucres, aliments industriels, alcool, café, boissons chaudes… ces dernières pouvant augmenter les bouffées de chaleur,
    • Activité physique régulière pour lutter contre la sédentarité,
    • Supplémentation en vitamine D,
    • Cures de probiotiques pour réensemencer le microbiote digestif et par association, le microbiote vaginal,
    • Cures d’algues pour soutenir la minéralisation et le bon fonctionnement de la thyroïde.

 

  • Gestion du stress : cohérence cardiaque, sophrologie, yoga, qi gong… tout ce qui peut améliorer la synergie entre l’esprit et le corps et avoir un effet direct sur certains symptômes telles que les bouffées de chaleur.

 

  • Traitements locaux pour lutter contre la sécheresse vaginale :
    • Hormonal et/ou acide hyaluronique
    • Massages et automassages, à l’huile d’amande douce par exemple

 

PENSER AUSSI À L’HOMÉOPATHIE !

Globale et individualisée, l’approche homéopathique tient compte des spécificités de chaque femme : physiologie, personnalité, environnement et modalité d’expression des symptômes. Elle est pertinente pour aider l’organisme à aller mieux et passer le cap de la ménopause.

L’homéopathie va favoriser la régularisation des cycles et diminuer l’inconfort du syndrome prémenstruel, notamment à l’aide de dilutions hormonales. Ces dilutions pourront rééquilibrer les cycles anarchiques et soutenir globalement l’organisme à supporter le déséquilibre hormonal.

Les médicaments homéopathiques sauront également offrir des réponses spécifiques aux symptômes prédominants : bouffées de chaleur, troubles de l’humeur, constipation, insomnies, cystite, douleurs articulaires et ligamentaires ou encore congestion.

 

Cap sur un bien vieillir, en toute sérénité !

 

[1]  https://www.ameli.fr/rhone/assure/sante/themes/menopause/symptomes-diagnostic